A cette époque c’était vraiment l’éclate
et la fête avant tout. Remy B. venait me voir car lui aussi voulait
devenir DJ bien que l’on ait 3 ans d ‘écart, nous nous
sommes très vite lié d’amitié. Je me souvient
qu’il m’avait trouvé une soirée à animer
à Fontvieille près des plages et bien avant que la plate-forme
soit construise. J’étais partant mais à condition qu’il
co-anime la soirée avec moi et ce fut une soirée mémorable,
la musique, l’alcool et les filles c’était non pas le
Paradis sur terre mais le Paradis à Monaco.
Je ne vous dirai pas que je ne me suis jamais pris de râteaux mais
depuis que j’étais le Dee-Jay vedette de la Principauté,
bizarrement, je ne m’en suis jamais plus pris ou alors c’était
des non plutôt sympa, dit avec les formes et plus d’élégance.
Et c’est à la fin de l’été 1984 que je
suis tombé amoureux d’une magnifique Portugaise qui avait une
sœur jumelle et que l’on nommera pour mes écrits Mila.
Elle était magnifique à mes yeux et je me suis même
fiancé avec elle pensant que c’était la femme de ma
vie et notre idylle à duré jusqu’en 1989 date à
laquelle elle m’avoua avoir fait un faux pas et fier et surtout con
comme j’était à l’époque, je n’ai
pu lui pardonner cet écart qui me rendis dans un premier temps, malheureux.
Puis avec le temps haineux et en définitive je croyais avoir fait
mon deuil de toutes les filles que j’ai aimé avant mais il
en est rien. On ne peut renier ses amours passées, même si
c’était des amourettes pour la plupart, elles ont toutes gardé
une place dans mon cœur et surtout celle avec qui je me suis marié
et eu 2 magnifiques enfants que j’aime par dessus tout.
Je vous rassure, je ne citerai pas de prénom car la liste des filles que j’ai connu fut relativement colossale pour moi. Je ne souhaite pas me la jouer ou autre mais la vérité est probante et elles ont toutes gardé une place dans mon cœur (Pour celles à qui j’ai ressenti de sincères sentiments). Pour les autres, je ne m’en souviens plus sauf quand je discute avec des amis et que l’on se remémore notre jeunesse, quelques prénoms me reviennent mais c’était pour elles et moi purement sexuel. A cet époque le Sida n’était pas d’actualité mais le sexe juste pour le plaisir, lui était bel et bien présent. J’ai eu une bonne éducation sexuelle de mes partenaires qui m’ont appris à m’améliorer jusqu’au jour où l’une d’entre elle me dit cette phrase : « Hum comme c’est bon Nounours, tu fais l’amour comme une femme… ». Là j’avais fait Tilt. Et oui, comment ça, je fais l’amour comme femme ? Tu te fous de moi ou quoi. Voyant que j’avais relativement mal réagi à cela, elle prit la peine de m’expliquer pourquoi elle m’avait sorti cette phrase.
Elle avait eu des partenaires qui ne pensaient qu’à eux. Préliminaires bâclées, caresses inexistantes et la durée vraiment limite. Elle se tourna donc du côté des femmes qui elles savaient lui donner le plaisir qu’elle souhaitait. Je compris donc qu’elle était bisexuelle et que comme je lui avais bien fait l’amour, elle m’avait dis cela pour me complimenter. Et elle fut donc ma seconde partenaire à faire un jet de Cyprine lors d’un orgasme. Je ne fut pas autant étonné que la première fois car la première fois, j’avais eu une sensation de peur car j’avais cru qu’elle m’avais urinée dessus, imaginé ma surprise lorsqu’elle me fit part de ce que c’était.